Le Monde Du Fleuve
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Le Monde Du Fleuve

S'il y avait quelque chose après la mort.. Quelque chose de tout à fait différent de tout ce qu'on a pu imaginer...
 
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 Mary Read

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Mary Read
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Mary Read


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MessageSujet: Mary Read   Mary Read Icon_minitimeJeu 24 Mai - 19:59

Nom : Read

Prénom : Mary (dit à l’anglaise, « mayri » pas « marie »)

Rive d’habitation : Est.

Age physique : 29 ans, l’âge de sa mort.

Vie avant de renaître sur le Monde du Fleuve :

[Je tiens avant tout à préciser que Mary Read est quelqu’un qui a vraiment existé, et qui est plutôt connu dans son « domaine ». Je connais plutôt bien ce personnage historique et ai, en plus, fait pas mal de recherches pour le recréer ici. Néanmoins, vu le « domaine » en question et l’époque à laquelle elle a vécu, il y a beaucoup d’hypothèses sur pas mal de facettes de sa vie et j’ai donc du faire un tri et choisir ce que je trouvais le plus intéressant pour mon jeu. En plus, j’ai ajouté des choses sur sa vie personnelle, j’ai imaginé ses sentiments et ce genre de choses.. Tout ça pour qu’on ne me reproche pas d’avoir créé une super-héroïne, je me suis juste contenter d’en prendre une existant dans l’Histoire…]

Mary est née en Angleterre, dans une famille peu fortunée de la petite bourgeoisie. Quand son père mourut, peu après sa naissance, sa mère se mit à la faire passer pour un garçon afin de pouvoir avoir l’héritage, que la mère de son père n’aurait pas donnée à une fille. Plusieurs années plus tard, alors qu’elle avait une dizaine d’années, sa mère commença à se poser pas mal de questions sur ce travestisme, principalement des questions d’ordre moral. Elle déshérita et chassa Mary de chez elle quand celle-ci refusa de troquer ses pantalons contre des jupons. Rien ne pouvait sortir de bon d’une fille qui se prenait pour un homme. Evidemment, à une époque plus avancée, n’importe qui aurait pu souffler à la mère de Mary que c’était elle qui était en faute et pas sa fille, qui n’avait finalement fait que d’accepter le rôle que sa mère lui avait octroyé alors qu’elle n’était qu’un enfant. Toujours est-il que Mary se retrouva à la porte…
Elle devint laquais, toujours grimée en homme, et se fit appeler Mark Read. Très vite, elle s’ennuie dans cette situation de laquais et s’engage dans l’armée. A l’époque, rappelons que la nudité était considérée comme malsaine, comme un péché, personne n’est donc allé voir ce qui se cachait sous les vêtements de l’Anglaise.
Dans l’armée, elle rencontre un homme, Bill, qu’elle épouse. Elle ne l’aime pas mais, pendant quelques temps, essaie de vivre une vie « normale ». Même pour quelqu’un d’aussi libre d’esprit qu’elle, le fait d’être complètement hors-normes n’est pas tout le temps facile à vivre. Ils ouvrent ensemble une auberge, L’Auberge des Trois Fers à Cheval. Cela dure trois ans. Mary dirige l’auberge d’une main de maître, son mari étant finalement plus un faire-valoir qu’autre chose. Quand il meurt dans la troisième année de leur union, la jeune anglaise (qui a à peine vingt-et-un ans à la mort de son époux) met tout de suite la clé sous la porte. Si l’Auberge l’a amusée quelques temps, ça n’est plus le cas. Elle brûle les jupes, jupons et corsets qu’elle a eu à porter tout ce temps, se coupe les cheveux à la mode masculine et endosse les vêtements de feu son mari.

Elle s’engage sur un navire marchand Hollandais, sous le nom de Mark Read. Le bateau est capturé par des Pirates Anglais et débarqué à New Providence, le port où tous les pirates se retrouvent. C’est dans ce port où, après avoir payé de sa personne pour être libérée (non pas en se prostituant mais en bataillant avec rage, tuant toute personne ayant l’air de vouloir la garder prisonnière), elle se balade dans le Port et rencontre un capitaine pirate, Rackham, qui la prend à son bord, sous le nom de Mark Read, sans savoir que c’est une femme…
Sauf qu’à bord, il y a une autre femme. Anne Bonny, qui a remis en état le bateau sur lequel ils naviguent, le Revenge, et qui est en fait co-capitaine avec Rackham, et sa compagne. Mary et Anne (elle aussi habillée en homme, se faisant appeler Adam Bonny) tombent tout de suite follement amoureuses. Aussi follement que deux êtres aussi cinglés le peuvent. La passion les dévore entièrement, les rendant encore plus sauvages, brutales et amorales. Très vite, Rackham découvre qu’elles ont une liaison, persuadé toujours que Mary est un homme. Il les surprend dans leurs ébats et découvre qu’il a deux femmes à bord au lieu d’une. L’homosexualité n’était pas vraiment quelque chose de toléré chez les pirates, même si c’était quelque chose de très courant (et connu comme très courant). En fait, c’était très sévèrement puni. Seulement, Rackham était fou amoureux d’Anne. Il ne put se résigner à les punir et, comme le Capitaine fait la loi, il ne leur arriva rien. A partir de ce moment, elles ne cachèrent plus leur féminité. Anne se mit à alterner jupons et pantalons, Mary s’y mit elle aussi petit à petit, appréciant à parfois se mettre en valeur d’une façon féminine.
L’étrange trio terrorisa les mers de ses méfaits. Vols, tueries, viols… Tout ce que la piraterie avait de pire passa entre leurs mains et dans leurs esprits. Il n’y avait rien de glamour dans ce qu’ils vivaient, rien à voir avec ce que les films pouvaient mettre en scène plusieurs siècles plus tard. Et il n’y avait rien d’héroïque en eux, à part peut-être la barbarie et la violence de leurs actes. Les deux femmes étaient les plus impitoyables du bateau, elles allaient bien au-delà de ce que des décennies de pirateries avaient pu engranger. Elles accumulèrent des richesses énormes mais ne faisaient pas ça pour ça. Elles aimaient les beaux vêtements (masculins ou féminins) et avaient des garde-robes considérables. Mais ça n’était pas non plus pour ça qu’elles vivaient ainsi. En fait, elles vivaient ainsi parce que ça leur plaisait, c’était ce qu’elles savaient et voulaient faire. Aucune excuse, aucun remord.

En octobre 1720, un navire au service du Gouverneur de Jamaïque les prit en chasse. L’abordage se fit en pleine nuit. La plupart des pirates de l’équipage sont ivres et ne combattent pas plus de quelques minutes. Les deux femmes, ivres de rage, massacrent, dos à dos, sans faire de distinction entre leurs camarades et leurs ennemis. Ils sont, pour elle, tous logés à la même enseigne, pour les avoir attaquées et pour avoir été aussi nuls. Les militaires qui les avaient attaqués mirent un moment avant de réussir à venir à bout d’elles. Il faut dire que la vision de deux femmes, habillées de sous-vêtements féminins de l’époque, qui tuent à tours de bras, et abattent même leurs compagnons, sous une pluie battante, la nuit, état un spectacle qui les effrayait particulièrement, superstitieux qu’ils étaient. Lorsque la bataille finit, les deux femmes furent capturées. Elles avaient blessé Rackham (qui s’était rendu trop vite à leur goût) et étaient comme deux lionnes folles.
Elles furent jugées mais ne furent pas exécutées à cause de leur état.. En effet, les deux femmes étaient enceintes. Ou plutôt, elles le prétextèrent. Il faut dire qu’à l’époque, l’idée de tuer un être pas encore né était quelque chose proche du péché le plus horrible. Elles furent donc condamnées à la prison à vie.
Anne, grâce à sa famille importante et influente, fut libérée (officieusement, officiellement elle a juste disparu de la prison, sans que personne n’ait jamais eu d’explication). Elle revint et visita Mary et Rackham. Ce que l’histoire ne retint pas, c’est que c’est Mary qui lui souffla cette phrase qui devint une des phrases historiques les plus connues (« If you had fought like a man, you would not now be hanged like a dog »), qu’elle dit à Rackham le matin de son exécution. Anne voulut faire échapper Mary mais elle n’en eut jamais l’occasion. Mary ne sut jamais ce qui lui était arrivé, toujours est-il qu’elle ne la visita qu’une fois, pour lui promettre de la faire sortir de là, et qu’elle ne le fit pas. Mary et Anne s’aimaient comme elles n’avaient jamais aimé personne et certainement comme personne n’avait jamais aimé personne. Mary n’arrêta jamais de croire en la promesse d’Anne.
Elle mourut néanmoins trop vite, de la fièvre jaune, plus folle que jamais, délirante, parlant à une Anne qui n’était pas là. Elle ne sut jamais ce qui était arrivée à sa bien-aimée, du moins pas dans cette vie.
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MessageSujet: Re: Mary Read   Mary Read Icon_minitimeJeu 24 Mai - 20:00

[obligée de scinder mon message, on me dit qu'il dépasse la longueur autorisée..]


Histoire depuis la Grande Résurrection : Mary n’avait jamais cru en aucun Dieu. Quand elle ressuscita sur les bords d’un fleuve immense, elle se dit néanmoins qu’il y avait bien un paradis. Parce que, après tout, pour une flibustière telle qu’elle, il n’y avait pas de paradis sans étendue d’eau sans limite. Seulement, ça n’était pas le paradis, la preuve, Anne n’était pas auprès d’elle. Terriblement frustrée par cette absence, et folle de rage, elle se fabriqua des armes rustiques et perpétra un vrai massacre. La région dans laquelle elle avait ressuscité était plutôt pacifique, du moins jusqu’à ce qu’elle y mette son grain de sel. Elle ne faisait pas ça pour le pouvoir, elle ne faisait pas ça par désespoir, elle faisait ça parce qu’elle aimait ça, et parce que c’était tout ce qui lui restait. Elle tua des tas de personnes, elle déchaîna les passions et les batailles de cette région durèrent des mois. Elle finit par être tuée, dans son sommeil, par un homme qui n’avait pas accepté qu’elle se refuse à lui (et peut-être n’était-ce pas tant le refus en lui-même que la façon qu’elle avait eue de refuser… en lui plantant son poignard profondément dans la cuisse).
Elle se réveilla, pour sa plus grande surprise, dans une autre région du Fleuve.. Une région où les femmes et les jeunes filles, les enfants même, étaient prises en otages et asservies. Mary n’avait jamais été quelqu’un de très moral, et elle n’avait rien contre l’asservissement, seulement elle n’apprécia pas vraiment le fait que les hommes essaient de l’asservir à son tour. Elle tua le premier en lui faisant exploser les vertèbres, vola ses armes et, après avoir libéré les femmes, aidée par ses nouvelles compagnonnes, massacra toute trace de testostérone du périmètre. Elle apprit alors à se servir des champignons et devint une sorte de « chef » de ce petit groupe. Etre la chef n’avait jamais été son but, elle avait plutôt eu tendance pendant sa vie à aimer être un peu en décalage, sans personne pour lui donner d’ordres, indépendante, mais sans avoir non plus qui que ce soit à ses ordres. Cependant, les femmes la voulaient comme chef, elle accepta donc.
Pendant environ un an, elle resta avec ces femmes. Méthodiquement, elles protégèrent leur position en tuant les hommes qui ressuscitaient avant qu’ils n’aient ouvert les yeux et en massacrant toute personne entrant dans leur région, hormis les femmes. Certaines femmes n’acceptèrent pas de se joindre à elle, elles furent tuées, avec d’autant moins de remords qu’elles se réveilleraient le lendemain à un autre endroit. De toute façon, les remords, c’était pas vraiment le truc de Mary. Dans cette communauté, les relations entre femmes étaient la règle et plus l’exception. Mary se trouva plusieurs compagnes, mais même en les accumulant toutes, elle ne ressentait rien de ce qu’elle avait ressenti avec Anne…

Un matin, elle faisait le tour des Champignons du coin pour tuer tout homme près à se réveiller à leurs pieds quand elle entendit un clapotis devenu inhabituel mais qu’elle connaissait bien. Au loin, un bateau, plutôt basique mais assez grand pour contenir une bonne vingtaine de personnes, arrivait. Il accosta sur la rive des femmes et fut accueilli par les méthodes habituelles, à coup de lances, couteaux (de silex) etc.. Jusqu’à ce qu’un homme reconnaisse Mary. L’homme en question était le Capitaine Barnet, celui même qui avait capturé l’équipage du Revenger (le bateau de Mary et Anne). Il se faisait maintenant appeler Dick (peut-être un diminutif de son prénom, mais Mary ne lui posa jamais la question) et écumait le Fleuve à la recherche d’une réponse à ses questions. En fait, il cherchait la source du Fleuve et l’explication de leur présence ici. L’homme était plutôt bien fait de sa personne, et plutôt charmeur. Il fut le premier, lui et trois hommes de son équipage rescapés de l’assaut du groupe, à survivre plus de cinq minutes dans le coin.
Très vite, la passion naquit entre l’ancien capitaine et l’ancienne pirate. Il raconta à Mary tout ce qu’il savait sur Anne, et principalement le fait qu’elle avait été enfermée pendant des mois dans un asile psychiatrique avant d’être libérée de force par des amis pirates que le Dick avait engagés. Il faut dire que Dick était obsédé par Mary et Anne depuis qu’il les avait combattues. Une obsession qui le poussa à des crimes horribles pour retrouver Anne. La mort de Mary détruisit l’homme qui plongea un peu plus loin vers la folie. Quand il réussit à libérer Anne, et qu’il eut à lui annoncer la nouvelle, la jeune femme perdit le goût de vivre. Elle ne fut plus que l’ombre d’elle-même. Tous deux trouvèrent un nouveau souffle dans une relation passionnelle. Etrangement leur perte de Mary les lia plus qu’ils ne l’auraient imaginé. Ils trouvèrent un bateau et Anne, déguisée en homme, devint Bartholomew Roberts, un pirate terrible, craint pendant deux années, Dick fut son second. Ils détruirent des centaines de navires dans un temps très restreint, allant de plus en plus loin dans la barbarie et dans l’inconscience, de plus en plus loin dans la folie. Finalement, ils furent attaqués par un navire, et une charge de canon brisa la colonne vertébrale d’Anne. Dick jeta son corps à l’eau, comme elle l’avait demandé, et finit par être capturé et pendu. D’après ce qu’il avait pu apprendre sur l’Histoire des siècles suivant, cette période marqua la fin de la Piraterie.
Mary fut très fière d’apprendre qu’Anne avait continué sans elle et qu’elle avait ainsi marqué le monde à deux reprises de sa force et de sa destruction. Elle et Dick devinrent amants, et elle quitta ses compagnes pour prendre la mer avec lui. Ils dirigeaient tous les deux l’équipage, auquel avaient été ajoutés quelques femmes de confiance que Mary avait sélectionnées pour venir avec elle.
L’équipage du « Anne » écuma les rives du Fleuve pendant toutes ces années. Ils massacrèrent des tas de gens, capturèrent les marins qu’ils croisèrent (de plus en plus avec le temps qui s’écoulait) mais ne trouvèrent jamais les sources du Fleuve. Un jour, alors qu’ils s’arrêtèrent dans une région afin de refaire les réserves, ils furent attaqués par une horde de sauvages (des primitifs au moins aussi brutaux qu’eux) et bataillèrent pendant des heures. Mary et Dick furent les derniers à résister. Tous deux étaient recouverts de sang et plein de rage. Ils tinrent beaucoup plus de temps que c’était humainement possible mais, écrasés par le nombre et par des ennemis sans pitié, ils finirent par être capturés. Comme ils étaient les plus braves guerriers de leur groupe, ils furent tués selon les rites de la tribu qui les avait attaqués. Mary pu voir Dick se faire éventrer sous ses yeux et elle mit plusieurs heures à mourir, se vidant de son sang par plusieurs ouvertures appliquées avec cérémonie par le chaman. Jusqu’au dernier souffle, elle maudit les barbares et leur promit de se venger.

Physique : Grande (un peu plus d’1m80), élancée, acérée comme un couteau, avec des formes juste là où il le faut, de la manière dont il le faut, Mary aurait sans aucun doute pu être top model si elle était née à une époque où ça existait, et si ce genre de choses l’avaient intéressées un minium. En fait, elle aurait même pu être une grande égérie vu les traits réguliers et si particuliers à la fois de son visage. Mais sa beauté a très souvent été cachée par la saleté (l’hygiène à l’époque n’était pas irréprochable) ou la folie qui brouillait ses traits.
Sa silhouette est celle d’une danseuse, bien qu’elle n’ait jamais su danser, même pas une simple petite valse. Ses jambes semblent ne jamais en finir, et elles attirent le regard de par leur galbe et leur longueur. Elles débouchent sur un buste tout en finesse, à la poitrine juste assez rebondie pour ne pas briser l’équilibre de la silhouette. Sa gorge est d’une finesse incroyable, en la voyant comme ça on pourrait croire qu’elle a été princesse plutôt que pirate.
Pourtant, il y a du muscle. Du muscle tout en longueur, du muscle d’une femme qui est habituée à agir et à bondir à tout instant, du muscle nerveux. Mais du muscle néanmoins. Mary se déplace toujours avec la souplesse d’un chat. Quand elle attaque, elle ressemble à une panthère, pas une belle panthère de fantasme ou de dessin-animé mais une panthère dans toute sa bestialité, sa souplesse et sa dangerosité. Son regard reflète d’ailleurs toute cette bestialité et cette folie sous-jacente. Même quand elle est calme, on sent qu’elle bouillonne à l’intérieur, qu’elle est prête à vous sauter dessus à tout moment. Pourtant, étrangement, elle peut aussi vous sembler rassurante et presque apaisante, seulement si vous avez son amitié…
Ses cheveux, très noirs, lisses et plutôt épais, sont courts. Elle les a portés longs et change régulièrement de look, selon ses envies. Ces derniers temps, elle préfère cependant les avoir dans une sorte de carré désorganisé, qui lui va vraiment bien et qui ne demande pas beaucoup d’entretien.
En général, elle ne porte que des pantalons. Parfois, quand elle arrive à s’en faire faire, elle ajoute une sorte de faux corset, un corset amélioré qui ne coupe pas la respiration mais qui met en valeur sa silhouette. Si vous avez la chance de la voir en jupe, surtout ne faites aucune réflexion à ce sujet, elle serait capable de vous tuer rien que pour un mot de travers.

Caractère : Si vous vous attendez à vous retrouver face à une femme très glamour, le genre rebelle qui est devenue pirate pour s’affranchir du joug machiste de la société de son époque.. Vous allez être déçu. Mary Read était une pirate. Une pure pirate dans le plus grand style des pirates. Amorale (pas immorale), elle ne voit absolument pas les différences entre le bien et le mal. Ce qu’elle veut, elle le prend. Ce qu’elle ne veut pas, elle le rejette. Tu vois, tu veux, tu prends, c’est sa devise. Elle est violente, elle aime ça, la tuerie l’excite terriblement et elle a des appétits sexuels qu’elle ne réfrène pas. Hommes ou femme, elle s’en fiche. Elle n’a jamais aimé quelqu’un comme elle a aimé Anne, mais elle n’a non plus jamais aimé quelqu’un comme elle a aimé Dick.. Chaque Amour est différent, mais toujours aussi passionné, aussi destructeur, aussi violent. Le rose bonbon et les petits oiseaux qui font pioupiou, c’est pas vraiment son genre. A vrai dire, elle ne comprend même pas le romantisme ou tout ce genre de choses et n’a pas envie d’apprendre à connaître.
Mary ne connaît même pas le sens du mot remord. C’était le cas quand elle était vivante, c’est toujours le cas. Elle vous tuera juste parce qu’elle en a envie, sans aucun remord. Cependant, Mary est aussi quelqu’un de confiance. Si vous arrivez à vous glisser dans son cercle de proches, et à avoir son amitié et son affection, elle ira jusqu’aux enfers avec vous, et ça n’est pas une façon de parler. Elle est très fidèle et capable de tout pour les gens qui lui sont proches… Sauf si vous la trahissez ou la décevez. Elle accepte que vous soyez qui vous êtes mais ne supporte pas que vous la déceviez. La couardise est une chose qu’elle ne comprend et n’accepte pas. Après tout, elle a bien tué une partie de ses compagnons de piraterie quand ils se sont rendus à l’équipage de Dick, durant sa vie.
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